La crise est certes un révélateur du besoin de changement de management mais c’est aussi l’arrivée de la génération y qui va l’impulser. Il serait heureux que les top managers retrouvent le « goût du long terme » mais les Y sont plus focalisés sur le court et le moyen terme et leur revendication est effectivement de travailler en équipe ou en réseau.
Ce sont les managers de proximité qui sont le plus absorbés par le quotidien, ils ont le nez dans le guidon de l’opérationnel et n’assument plus leur rôle de mini DRH pour leurs équipes. La pression des résultats, la suppression des maillons de la hiérarchie font qu’ils ne sont plus vraiment des cadres de proximité, d’où une perte de confiance et de sens et de vision à long terme.
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